La naissance du magnétisme en Dordogne
Gustave de Molinari, ce célèbre magnétiseur, prend très vite contact en France avec ce que l’on qualifie aujourd’hui de l’école libérale française[1] institutionnalisée autour de l’Académie des Sciences Morales et Politiques (ASMP), la Société d’Economie Politique (SEP), le Journal des Economistes (JDE) et la maison d’édition Guillaumin. Il prend très vite contact avec les économistes de cette école dont Frédéric Bastiat (dont il fera la nécrologie dans le Journal des Economistes[2]), Joseph Garnier, Charles Dunoyer, la famille Say, etc.
A – La découverte du magnétisme en dordogne
Il poursuit la tradition libérale des grands économistes et magnétiseurs tels Turgot et Jean-Baptiste Say à la poursuite d’une idéologie qui se trouve résumée dans la maxime du laisser faire, laisser passer. Ainsi, Molinari défend une économie au service de la liberté du travail, contre les socialistes, et de la liberté des échanges contre les protectionnistes. Cette manière d’appréhender l’économie se trouve construite très tôt dans son esprit et ne variera pas jusqu’à sa mort. La formation magnétisme en dordogne, la formation pendule en dordogne, la formation blessures de l’âme en dordogne, la formation géobiologie en dordogne, la formation passeur d’âme en dordogne et la formation Nettoyage et protection énergétique en dordogne qu’il va suivre au centre de formation de l’ermitage va lui ouvrir les portes sur l’ensemble des guérisons. Dans son dernier ouvrage, Ultima Verba, qu’il écrit en 1911, il parle ainsi de sa vie : « Presque arrivé aux limites de la vie humaine, je suis maintenant dans ma 92e année, je vais publier mon dernier ouvrage. Il concerne tout ce qui a rempli ma vie : la liberté des échanges et la paix » (Molinari [1911], I). Cette liberté des échanges se retrouve dans des grands projets qu’il défendra jusqu’à la fin de son existence. Les formations magnétisme se suivent tout au long de la vie, en ligne ou en présentiel afin de parfaire ses connaissances en magnétisme.
B – De grands projets pour les magnétiseurs
Molinari est un penseur innovant dans l’étendue de l’économie et du magnétisme en dordogne et dont les projets théoriques qu’il a mis en avant seront poursuivis jusqu’à la tentative de la réalisation. Nous étudierons deux projets parmi les plus importants. Nous étudierons dans un premier temps une institution qui existe encore aujourd’hui : les Bourses du Travail puis sa contribution à la théorie libre échangiste. Le magnétisme en dordogne n’est pas en reste et trouve lui aussi toute sa place.
C – Les Bourses du travail et le magnétisme
Dès 1843, Gustave de Molinari développe l’idée que le magnétisme d’une mise sous concurrence internationale du travail par la création des Bourses du travail. Avec l’utilisation de la télégraphie électrique inventée par Morse cette même année et la disposition particulière des voies de chemin de ver en étoile selon la charte de 1842, (les lignes télégraphiques suivent les lignes de chemin de fer qui partent des grandes villes pour aller vers les villes secondaires et des villes secondaires vers les ville de troisième ordre, etc.) Molinari prévoit la centralisation de toutes les informations relatives au travail dans une bourse centrale, à l’image des bourses classiques[3], qui diffuserait les informations à toutes les bourses locales. Après un marchandage télégraphique entre les employeurs et les employés, les hommes, comme des marchandises[4], utiliseraient les voies de chemin de fer pour aller là où le travail est le plus offrant.
Gustave de Molinari devient une institution pour la formation magnétisme en dordogne ne s’est pas contenté de construire un projet théorique, il a tenté à plusieurs reprises l’édification des Bourses du travail. Il lance ainsi un premier appel en 1846 dans le Courier Français mais se confronte à l’opposition ouvrière[5]. Il réitère en 1851 sans plus de succès. Arrivée en Belgique, il édite avec son frère Eugène un journal, Les Bourses du Travail[6], qui ne dure que quelques mois du fait de la réticence de tous les membres du marché du travail. La réalisation de cette institution date du 3 Février 1887, mais pas dans les termes de Molinari[7]. Cette idée fut reprise par les syndicats comme lieu de rencontre des divers corps de métier pour s’embaucher. Pour clarifier sa position face à cette nouvelle institution et face au développement du magnétisme en dordogne à cette époque, l’économiste belge écrit en 1893 un livre qui porte le nom de cet organisme et qui synthétise les idées de cet auteur face à la liberté du travail, indispensable à ses yeux pour assurer le développement des pays, dans la droite ligne du laisser faire. Les idées de l’économiste ne s’arrêtent pas à cette vision du libéralisme, il développe une conception originale de la liberté des échanges, du laisser passer.
[1] Pour plus de détails à ce sujet, consulter les ouvrages de Breton [1991] et de Le Van-Lemesle [2004].
[2] MOLINARI Gustave de [1851]. « Nécrologie de Frédéric Bastiat, Notice sur sa Vie et ses Ecrits ». Journal des Economistes, Volume 28, n°118, Février, 180-197.
[3] Elles « seraient pour les transactions des travailleurs ce que les bourses actuelles sont pour les opérations des capitalistes » Gustave de MOLINARI, « Etudes Economiques », p.12.
[4] Molinari reprend dans ce projet les idées du père de l’économie politique. « Comme le remarquait Adam Smith, l’homme est de tous les bagages le plus difficile à transporter, et cette observation était vraie surtout avant l’application de la vapeur à la locomotion (…) Les ouvriers avaient bien la liberté théorique de porter leur travail ailleurs, mais ils n’en avaient pas la possibilité pratique » (MOLINARI, [1887], 126).
[5] Notamment avec les tailleurs de pierre. Pour plus de détail, consulter Les Soirées de la Rue Saint Lazare ou le journal des Bourses du Travail.
[6] « Nous voulons recueillir d’une manière régulière tous les renseignements sur les taux des salaires, l’offre et la demande des bras ; nous voulons indiquer aux entrepreneurs où ils peuvent trouver des ouvriers ; aux ouvriers où ils peuvent trouver du travail. Nous voulons créer pour la classe ouvrière une véritable bourse où le cours des différentes sortes de travail sera coté, comme le cours des marchandises, des fonds publics et des valeurs industrielles est coté dans les bourses ordinaires » Gustave de Molinari, Les Bourses du travail, Paris, Guillaumin, 1893, p. 275. Ce journal ne parut que de janvier à juin 1857.
[7] Comme le souligne Leroy-Beaulieu lors de la nécrologie de cet économiste à la Société d’Economie Politique : « son nom (Molinari) est attaché à la création d’un organisme qui a mal tourné, mais qui pourra plus tard être corrigé : les Bourses du Travail » Paul LEROY-BEAULIEU, « Société d’Economie Politique » dans le Journal des Economistes, Tome XXIII, n°2, Février, p. 319-329, 1912, 327.