Pourquoi contrôler la consommation d’alcool pour perdre du poids ?
Êtes-vous alcoolodépendant alors que vous souhaitez maigrir ? Notez qu’il existe mille et une raisons de ne pas boire de l’alcool dans le cadre de la perte de poids. En quelque sorte, l’addiction à l’alcool compromet vos efforts pour perdre du poids. Vous avez ainsi à réduire petit à petit votre consommation d’alcool. Tour d’horizon des bonnes raisons de contrôler la boisson de l’alcool dans la sphère de l’amincissement.
L’addiction à l’alcool rehausse le taux de calories
L’alcool renvoie à toutes boissons dites alcoolisées. Elles peuvent désigner l’absinthe, la bière, la liqueur de café, le Gin, le rhum, le saké, le vin de table, la vodka, le whiskey. Tous ces alcools renferment respectivement pas moins de 290 calories.
Ce taux de calories excède in extenso les normes dont l’organisme a besoin. Ce qui contribue à l’augmentation du taux de calories dans le sang. Non seulement l’alcool est hypercalorique, mais il stimule aussi le stockage des calories dans le corps, plus particulièrement dans le ventre.
Ce mécanisme surgit de manière à ce que l’appareil digestif ne fonctionne pas comme il se doit. L’estomac déchiquète mal les aliments ingurgités et les émonctoires assimilent inadéquatement lesdits aliments. Avec l’alcool, un programme nutrition perte de poids élaboré par un nutritionniste professionnel peut ne pas vous faire maigrir.
Les boissons alcoolisées favorisent la rétention d’eau
L’alcool nuit à la santé. Il déshydrate avec célérité. Ce phénomène de déshydratation donne naissance à la rétention d’eau, appelée aussi alias œdème. Celle-ci s’accompagne de l’augmentation de la température.
Par conséquent, l’organisme n’est pas à son merveille fonctionnement et l’assimilation des nutriments se détériore. La raideur des muscles résulte aussi de la rétention d’eau occasionnée par la boisson d’alcool.
Lorsque l’alias œdème surgit, certaines zones du corps accumulent de l’eau. D’où le caractère mou de la peau. Le ventre et les membres inférieurs du corps sont les plus attaqués par l’excès d’eau. Prenez alors toutes les mesures nécessaires pour vous habituer à vous éloigner petit à petit de l’alcool.
L’alcoolisme stimule l’accumulation des déchets
En plus de favoriser la rétention d’eau et d’augmenter le taux de calories, la boisson d’alcool contribue à exciter l’entassement des déchets toxiques.
L’acide que contient l’alcool compromet la capacité de l’organisme à stimuler ses actions diurétiques et détoxifiantes. Ce phénomène ne fait qu’accroître l’accumulation des résidus toxiques dans le corps et la résultante en est le ralentissement de l’assimilation des macros et micronutriments nécessaires à la combustion des graisses.
Autant les toxines s’accumule, autant elles se traduisent en masses graisseuses. Mais pas que. La forte présence desdites toxines dans l’organisme empêche la fixation des minéraux, qui sont indispensables pour brûler les graisses viscérales.
L’alcoolodépendance ouvre l’appétit
Apéritif, l’alcool possède la capacité à creuser l’estomac et ainsi à faire disparaître toute sensation de satiété. La sensation de faim dont il fait l’objet est intense. Ce qui peut vous induire dans une perte de contrôle en termes d’appétit.
Dans le cas où la faim vous inflige et que vous ne mangez rien pour vous apporter de la satiété, vous risquez de sombrer dans l’insuffisance pondérale. Pour autant, si vous vous permettez de manger pour enlever votre sensation de faim provoquée par la boisson d’alcool, vous avez une forte tendance à vous pencher sur les repas ou collations sucrés.
La présence de l’alcool dans votre organisme risque de léser l’hypothalamus, une glande de cerveau qui envoie du signal en cas de faim et de satiété et qui a aussi pour fonction de réguler l’appétit. Ainsi, il est fort probable que vous ayez faim alors même que votre estomac est truffé d’aliments.
À noter :
Le contrôle de la consommation d’alcool ne se fait pas en claquant les doigts, surtout si vous êtes un dépendant chronique. La volonté d’éviter l’alcool ne suffit pas, elle nécessite l’aide d’un proche ou d’un médecin.